Sur la route.
Conduite à gauche, donc, y penser, surtout au départ ! Après quelques recherches du levier de vitesse dans la porte et le démarrage des essuie-glaces à la place des clignotants, on se fait vite à la conduite. Ça tangue un peu à 120 km/h, on s y habitue aussi. Nous communiquons entre les deux voitures avec des talkie-walkie, c’est très pratique car la signalisation n’est pas toujours au top. Jusqu’ici, les routes sont droites, bordées de chaque côté par de hauts grillages (pour protéger les animaux on suppose). On y a vu quand-même des babouins et phacochères. Jusqu’ici, ( de Windhoek à Etosha), le paysage est très plat. Sur le plan de la végétation, nous avons : savane avec herbes jaunes ou herbes jaunes + buissons ou herbes jaunes + petits arbres feuillus ou petits arbres feuillus et arbres encore nus ( ce qui donne une couleur gris violette). Quelques reliefs sous la forme de petites montagnes ou blocs de rochers de temps en temps … Et, les termitières rouges ou blanches selon le terrain.
L’herbe bien verte recommence à pousser c’est le printemps. Les villes que nous avons traversées jusqu’ici n’ont pas d’âme : de larges avenues bordées de maisons et commerces bas, des supermarchés, des stations services, des églises à l’occidentale. En revanche, les arbres sont magnifiques : des jacarandas violets en fin de floraison, des flamboyants dans toute leur splendeur, des palmiers et bien sûr, les superbes bougainvillées
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