La Havane

Cuba 2016

Pincou voulait bien venir… Ce n’était pas possible…

26 octobre

Nous y voici donc, après un vol sans encombres.

Nous sommes attendus à l’aéroport comme convenu et nous voilà à notre « casa personal » où Mary nous accueille chaleureusement. Puis direction notre lit dans notre chambre colorée…

Nuit calme avant de nous lancer dans les rues de La Havane, non sans avoir ingurgité un copieux petit déjeuner (fruits, jus de fruit (goyave), œufs, pain, beurre, confiture (de goyave maison) et café)

Nous découvrons le quartier « Habana vieja ». C’est vrai qu’il est vieux et donc en pleine restauration. Des bâtiments depuis le XVIe qui ont souffert des conditions météorologiques et des difficultés financières du pays.

Il semble que le tourisme participe à cette œuvre de restauration. C’est vrai que Cuba est une destination très chère. Sachant qu’un salaire moyen est d’environ 20 €, on comprend mal comment, avec les prix pratiqués (chambre 25 €, repas 15 €, bouteille d’eau 80 c à 2 €) les gens ne soient pas plus riches que cela… On ne sait pas ce qu’il en est des taxes à payer par les propriétaires …

On comprend vite qu’il va falloir souvent mettre la main à la poche : la pièce pour les musiciens, pour les toilettes… Il n’y a pas beaucoup de voitures, les gens marchent, donc. Les rues sont animées, les gens, décontractés, démonstratifs (ça change de la Thaïlande). On entend de la musique partout. Des musiciens passent de restaurant en restaurant. On n’a pas fini d’entendre « commandante Che Guevara » et « besa me mucho ! », favoris des touristes semble-t-il !

A l’issue de notre première journée, la pluie nous fait quitter la terrasse du restaurant pour l’intérieur. La deuxième journée ne nous apporte pas plus de soleil. La température est toutefois fort agréable.

Il faut maintenant se mettre en quête d’un zone internet. Cuba n’est pas encore le pays du « free wifi ». Il a fallu acheter une carte qui nous permet de nous connecter près des hôtels ou dans des parcs de la ville où la firme gouvernementale délivre de l’internet avec parcimonie.

Si vous êtes arrivés jusque là, c’est qu’on a surmonté tous les défis pour envoyer ce texte. (S’il y a des images, alors là, on dit «gracias cmmandante ! »)